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| ACTUALITES INTERNATIONALES | |
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CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: ACTUALITES INTERNATIONALES Jeu 27 Déc - 15:54 | |
| Ici on parlera et on présentera les actualités du monde entier tel que ça s'est passé ou que vous soyez vous serz toujours plus informé. | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: L'histoire de Sarkozy et Cala Bruni Jeu 27 Déc - 16:04 | |
| http://www.lefigaro.com Jacques Séguéla a organisé le dîner au cours duquel Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se sont rencontrés. Pour la première fois, il raconte la soirée. Il est à l'origine de leur rencontre. Alors que le voyage offert par l'homme d'affaires Vincent Bolloré pour les congés de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni en Egypte a provoqué une nouvelle polémique, Jacques Séguéla revient sur la naissance de l'idylle entre le chef de l'Etat et l'ex-top model lors d'un dîner organisé fin novembre. «Nicolas, il était très seul. Ça l'a quand même touché tout ça (le divorce avec Cécilia Sarkozy, ndlr). Il m'a dit : écoute, fais-moi un dîner de copains chez toi avec ta bande, je n'en peux plus d'être seul le soir à l'Elysée», raconte le publicitaire dans une interview sur Europe 1.
«Ils ne se quitteront plus jamais» «Moi, j'ai voulu lui faire un diner de copains de gauche et donc j'ai voulu y inviter des gens qui fassent un peu réagir et bouger. J'ai pensé à Julien Clerc, qui n'a pas pu venir parce que ce jour-là il chantait, Carla Bruni, et puis deux autres couples», poursuit Jacques Séguéla. «Et j'ai vécu en direct le coup de foudre présidentiel. Ils ne s'étaient jamais vus et je pense qu'ils ne se quitteront plus jamais.» En fait, selon plusieurs sources, le futur couple avait déjà fait connaissance le 23 novembre à l'Elysée lors de la remise du rapport Olivennes contre le piratage. La suite ? «Ils sont repartis ensemble, mais pas pour ce que l'on croit. Il l'a raccompagnée chez lui (SIC) et je sais qu'il ne s'est rien passé parce que c'était deux heures du matin, et cinq minutes après, Carla m'a téléphoné. Elle m'a dit : ton copain, il est quand même curieux, je lui ai donné mon numéro de téléphone et il ne m'a pas rappelée». Jacques Séguéla sourit : «Il venait de la quitter depuis cinq minutes.» | |
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Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| | | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Jeu 27 Déc - 22:05 | |
| Les Français de L'Arche de Zoé condamnés à 8 ans de travaux forcés au Tchad conférence de presse à N'DJAMENA sur l'affaire de L'Arche de Zoé N'DJAMENA 27 déc (TAP) - Les six Français de L'Arche de Zoé ont tous été condamnés mercredi à la même peine, huit ans de travaux forcés, par la Cour criminelle de N'Djamena qui les a jugés coupables d'avoir tenté d'enlever 103 enfants au Tchad afin de les emmener en France il y a deux mois. Le président de l'association Eric Breteau, son assistante Emilie Lelouch, les logisticiens Alain Péligat et Dominique Aubry, le médecin Philippe Van Winkelberg et l'infirmière Nadia Merimi ont été reconnus coupables de "tentative d'enlèvement de 103 enfants tendant à compromettre leur état civil" et "grivèlerie". Le ministère français des Affaires étrangères a fait savoir que Paris demanderait "aux autorités tchadiennes le transfèrement en France des condamnés" pour qu'ils y purgent leur peine, conformément à une convention de coopération judiciaire de 1976. De source diplomatique à N'Djamena, on affirme que ce rapatriement pourrait intervenir "très rapidement". | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Jeu 27 Déc - 23:08 | |
| - CharfAmine a écrit:
- Les Français de L'Arche de Zoé condamnés à 8 ans de travaux forcés au Tchad
conférence de presse à N'DJAMENA sur l'affaire de L'Arche de Zoé N'DJAMENA 27 déc (TAP) - Les six Français de L'Arche de Zoé ont tous été condamnés mercredi à la même peine, huit ans de travaux forcés, par la Cour criminelle de N'Djamena qui les a jugés coupables d'avoir tenté d'enlever 103 enfants au Tchad afin de les emmener en France il y a deux mois. Le président de l'association Eric Breteau, son assistante Emilie Lelouch, les logisticiens Alain Péligat et Dominique Aubry, le médecin Philippe Van Winkelberg et l'infirmière Nadia Merimi ont été reconnus coupables de "tentative d'enlèvement de 103 enfants tendant à compromettre leur état civil" et "grivèlerie". Le ministère français des Affaires étrangères a fait savoir que Paris demanderait "aux autorités tchadiennes le transfèrement en France des condamnés" pour qu'ils y purgent leur peine, conformément à une convention de coopération judiciaire de 1976. De source diplomatique à N'Djamena, on affirme que ce rapatriement pourrait intervenir "très rapidement". ils méritent plus... | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Ven 28 Déc - 12:08 | |
| Al-Qaida revendique l'assassinat de Benazir Bhutto
S.P. (lefigaro.fr), avec AFP 28/12/2007 | Mise à jour : 09:57 | (Farooq Naeem / AFP) Le gouvernement pakistanais affirme ne pas être au courant d'une revendication directe de la nébuleuse terroriste, relayée par une chaine de télévision privée. L'ex-premier ministre va être inhumé cet après-midi sous haute surveillance. La marque d'al-Qaida. Le réseau terroriste a revendiqué vendredi la paternité de l'attentat suicide qui a couté la vie à l'ex-premier ministre etchef de file de l'opposition pakistanaise Benazir Bhutto jeudi près 'Islamabad, selon la TV pakistanaise. Le gouvernement pakistanais a presque immédiatement assuré ne pas être au courant d'une telle revendication, préférant accuser les islamistes considérés comme proches d'al-Qaida d'être les auteurs de l'assassinat. Hier, Washington avait déjà émis de tels soupçons. Benazir Bhutto, elle, avait accusé par le passé le Président Musharraf de lui refuser une protection adéquate dans les mois précédant sa mort. Si quelque chose m'arrive au Pakistan, «j'en rendrai Musharraf responsable» avait-elle écrit dans un message électronique dressé à son porte-parole américain Mark Siegel et révélé par la chaine CNN. «Ses hommes de main me font me sentir en danger» avait-elle indiqué, détaillant les mesures de sécurité qu'elle avait demandé et qui ne lui avaient pas été accordées par le président pakistanais. «Il est impossible que l'interdiction d'utiliser des voitures privées ou avec des vitres teintées ou une escorte de quatre voitures de police pour me protéger de tous les côtés puisse être décrétée sans son accord.» Elle avait demandé à Mark Siegel qui avait collaboré avec elle à la rédaction d'un livre sur l'Islam et l'Occident, de rendre son message public si elle était assassinée. L'ambassadeur du Pakistan aux Etats-Unis, Mahmoud Ali Durrani, a pour sa part récusé ces affirmations. «Le gouvernement du Pakistan a fourni toute la sécurité nécessaire», a-t-il assuré sur CNN. Funérailles sous haute surveillance. La tension restait vive ce matin. Quelque 4.000 partisans de Benazir Bhutto ont manifesté dans le nord-ouest du Pakistan et ont mis à sac les bureaux d'un parti politique proche du pouvoir. A Karachi, la police a annoncé que la foule avait pillé trois banques avant de les incendier Les troupes paramilitaires ont reçu l'ordre de tirer à vue. Hier, à l'annonce de l'assassinat condamné dans le monde entier, des émeutesavaient déjà éclaté dans plusieurs villes pakistanaises faisant au moins dix morts et des dizaines de blessés, selon le ministère de l'Intérieur. Et c'est sous haute surveillance que se dérouleront cet après-midi les funérailles de l'ex-premier ministre. La dépouille de l'ex-dirigeante est arrivée vendredi à l'aube dans la province méridionale du Sindh. Le président Musharraf a décrété trois jours de deuil national. Par ailleurs, le gouvernement n'aurait pas encore pris de décision sur le maintien ou non des élections législatives le 8 janvier, même si ce matin, le premier ministre assurait que «dans l'immédiat» le calendrier initial est maintenu. L'assassinat de Benazir Bhutto est le dernier d'une série record d'attentats suicide dans l'histoire du Pakistan, qui ont fait près de 800 morts en 2007. Le plus meurtrier avait eu lieu le 18 octobre, quand deux kamikazes avaient tué 139 personnes dans un gigantesque défilé de sympathisants qui célébraient à Karachi le retour de l'ex-premier ministre après six années d'exil. | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: Affaire de l'Arche de ZOE Sam 29 Déc - 12:53 | |
| Par Par Katell PRIGENT et Anne-Sophie MOREL AFP - il y a 2 heures 38 minutes
LE BOURGET (AFP) - Les six membres français de L'Arche de Zoé, condamnés à huit ans de travaux forcés à N'Djamena pour "tentative d'enlèvement d'enfants", ont été rapatriés vendredi du Tchad pour être incarcérés en région parisienne à leur descente de l'avion au Bourget (Seine-Saint-Denis).
Parti à 13H40 de N'Djamena, le Boeing de la compagnie Toumaï Air Tchad transportant les six Français s'est posé peu après 21H20 sur l'aéroport du Bourget où attendaient les familles, maintenues à l'écart. Le procureur de la République de Bobigny, François Molins, a aussitôt notifié aux six Français les peines prononcées par la justice tchadienne et, après un interrogatoire d'identité, a pris des réquisitions "d'incarcération immédiate" dans un établissement pénitentiaire. Il a indiqué que cinq d'entre eux avaient demandé à subir un examen médical à leur arrivée à la prison et qu'il appartiendra à l'administration pénitentiaire "de décider ou non de leur hospitalisation". Selon l'épouse de l'un des condamnés, les six Français devaient être "incarcérés à Fresnes" (Val-de-Marne), où un hôpital pénitentiaire est situé dans la même enceinte que la maison d'arrêt. Christine Péligat, épouse du logisticien Alain Péligat, a précisé tenir cette information du ministère de la Justice, qui n'a cependant pas souhaité faire de commentaire. Selon elle, le passage à Fresnes durerait "dix ou quinze jours", avant que les condamnés n'intègrent des lieux de détention plus proches de leur domicile. "Il faut vraiment qu'ils aillent à l'hôpital, leur état physique est assez inquiétant", a déclaré Mme Péligat. Les détenus avaient annoncé jeudi avoir commencé une grève de la faim et de la soif pour protester contre le verdict. M. Molins a ensuite indiqué qu'il appartiendra au parquet du lieu de détention de saisir le tribunal correctionnel pour demander "d'adapter la peine pour qu'elle soit conforme au droit français". Ce sera une peine "d'emprisonnement et non de réclusion criminelle" a-t-il ajouté. L'affaire devrait être soumise au tribunal "dans les semaines qui viennent", selon lui. En tout état de cause, "le quantum de la peine restera le même (soit huit années de prison, ndlr), les aménagements de peine ne pouvant intervenir qu'une fois que la moitié de la peine aura été purgée", avait précisé la Chancellerie. Le transfèrement, auquel N'Djamena a donné son feu vert vendredi matin levant le dernier obstacle au départ des six Français qui avaient souhaité leur rapatriement, est conforme aux dispositions de la convention judiciaire signée en 1976 entre la France et le Tchad. Son article 29 stipule que "si l'une ou l'autre partie contractante en fait la demande, tout ressortissant de l'un des deux Etats condamnés à une peine d'emprisonnement ou à une peine plus grave sera, sous réserve de son consentement, remis aux autorités de l'Etat dont il est ressortissant". A N'Djamena, les détenus ont été conduits menottés jusqu'à l'avion, depuis une salle de l'aéroport où les attendaient notamment huit agents de l'administration pénitentiaire française. Etaient également présents à bord de l'appareil, selon un journaliste de l'AFP au Tchad, un représentant du parquet général de N'Djamena, le directeur de l'administration pénitentiaire tchadienne, six gendarmes tchadiens, un avocat des parties civiles et un représentant des parents des familles des 103 enfants que l'association L'Arche de Zoé voulait emmener en France le 25 octobre depuis l'est du Tchad. Après l'arrivée de l'avion ramenant les six Français, le porte-parole de l'Elysée David Martinon a déclaré que Nicolas Sarkozy s'était engagé à ce qu'ils reviennent en France aussi rapidement que possible. | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: AL-QAIDA DEMENT L'ASSASSINAT DE BHUTTO Sam 29 Déc - 13:04 | |
| AFP- Bätullah Mehsud, chef présumé d'Al-Qaïda au Pakistan, dément avoir fait tuer jeudi l'ex-Premier ministre et opposante Benazir Bhutto, a annoncé samedi à l'AFP l'un de ses porte-parole, par téléphone satellitaire.
Il n'est pas impliqué dans cette attentat", a déclaré le porte-parole, le maulana Omar. "C'est un complot du gouvernement, de l'armée et des services de renseignements" pakistanais, a-t-il accusé. Le gouvernement avait accusé vendredi Al-Qaïda, par l'intermédiaire de Baïtullah Mehsud, d'avoir perpétré l'assassinat de l'ex-Premier ministre, en diffusant le verbatim d'une conversation téléphonique interceptée par les services de renseignement au cours de laquelle ce dernier en félicitait les auteurs. | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: Mystère autour d'Emmanuel, l'enfant otage en Colombie Mer 2 Jan - 11:15 | |
| BOGOTA (AFP) - Le sort d'Emmanuel avait ému, désormais il intrigue au moins autant. Cet enfant de trois ans, symbole du drame des otages en Colombie, aurait peut-être échappé depuis longtemps à sa captivité, selon les autorités. Fils de Clara Rojas, l'assistante de l'ancienne candidate présidentielle Ingrid Betancourt, il a donné son prénom à l'opération, lancée dans l'espoir de le récupérer, au fin fond de la jungle, avec sa mère et un autre otage des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). Mais le président colombien Alvaro Uribe a provoqué un coup de théâtre, en émettant lundi l'hypothèse que ce garçon, né de la relation entre une otage et un guérillero, se trouverait dans un foyer de l'enfance à Bogota. "Les Farc n'ont pas tenu la promesse de libérer les otages, car elles n'ont plus en leur pouvoir l'enfant", a-t-il affirmé pour justifier l'échec de la mission humanitaire, imputé par la guérilla au harcèlement de l'armée. Son homologue vénézuélien Hugo Chavez, à qui les rebelles s'étaient engagés à remettre leurs trois otages, a reproché à M. Uribe d'avoir "dynamité" le processus. L'Agence de presse pour une Nouvelle Colombie (Anncol), proche de la guérilla, a réfuté l'hypothèse des autorités colombiennes, qualifiée de "nuage de fumée", dans un communiqué publié mardi. A l'origine de ce rebondissement, les services secrets colombiens auraient intercepté il y a quelques mois, dans le centre du pays, un message radio des Farc laissant entendre qu'Emmanuel n'était plus aux mains de la guérilla. Les autorités ont aussitôt ordonné dans la région une enquête auprès des services de l'enfance. Après l'examen d'une centaine de mineurs, ces services découvraient le cas troublant d'un garçon, de père inconnu, retiré d'un foyer de San Jose de Guaviare, à environ 300 kilomètres au sud-est de Bogota, et confié depuis plus d'un an à un centre de la capitale. "Cet enfant présente des similitudes physiques avec Emmanuel. Il a été blessé au bras, il porte des traces de maltraitance", a expliqué M. Uribe, en rappelant les propos de John Frank Pinchao, ancien compagnon de détention de Clara Rojas. Ce policier, qui s'est échappé en mai dernier, avait affirmé qu'Emmanuel "avait été maltraité" et que son corps avait reçu des "brûlures de cigarettes". "Il y a des coïncidences entre cette description et celle de l'enfant" pris en charge par l'Institut colombien du bien-être familial (ICBF), selon M. Uribe. Des experts colombiens ont été envoyés mardi à Caracas afin de prélever des échantillons ADN sur les proches d'Emmanuel. Les résultats seront connus "d'ici dix à quinze jours", selon le procureur général de Colombie, Mario Iguaran. "S'il s'agit d'Emmanuel, ce serait une infâmie car on aurait violé tous ses droits, mais au moins il serait libre", a déclaré Ivan Rojas, son oncle. L'énigme autour du cas de l'enfant est devenue une affaire d'Etat en Colombie. "Seul le président Uribe est autorisé à s'exprimer sur cette question", a déclaré à l'AFP Shelly Oviedo, au service de presse de l'ICBF. Le cas d'Emmanuel est considéré comme emblématique de la crise des otages. Selon M. Rojas, "cet enfant porte le nom du Sauveur. Il a sauvé ma soeur, il peut sauver toute la Colombie". Le mystère autour d'Emmanuel alimentait lundi de nombreuses conjectures. "Si c'est vrai, pourquoi le gouvernement a-t-il attendu jusqu'à aujourd'hui pour le révéler?", s'interroge un lecteur d'El Pais de Cali. "Le fait qu'Uribe ait choisi précisément ce moment pour dévoiler l'information est suspect", affirme une Colombienne vivant en Allemagne, dans l'édition en ligne d'El Tiempo. | |
| | | CharfAmine Niveau 2
Nombre de messages : 30 Age : 43 Date d'inscription : 27/12/2007
| Sujet: VIOLENCE AU KENYA Mer 2 Jan - 11:19 | |
| NAIROBI (AFP) - Au moins 35 personnes, dont des femmes et des enfants, sont mortes mardi dans l'incendie volontaire d'une église au Kenya, portant à 306 morts le bilan des violences interethniques et des émeutes depuis la réélection contestée du président Mwai Kibaki le 27 décembre. Les violences en cours dans la vallée du Rift, notamment à Eldoret (ouest), pourraient être qualifiées de "nettoyage ethnique", a déclaré à l'AFP un haut responsable de la police. Près de la ville d'Eldoret (300 km à l'ouest de Nairobi), des assaillants ont incendié à l'essence l'église en bois dans laquelle 300 à 400 personnes s'étaient réfugiées pour fuir les violences, ont indiqué des responsables kényans citant des survivants et des sources policières. "Au moins 35 personnes ont été brûlées vives dans l'église, certaines étaient méconnaissables. Il y avait des femmes et des enfants", a déclaré à l'AFP un haut responsable de la Croix-Rouge locale. Selon un autre responsable de l'organisation, 42 personnes "grièvement brûlées" ont été hospitalisées. Eldoret et Kisumu, situées à environ 80 km à l'est de la frontière avec l'Ouganda, sont les deux villes kényanes les plus touchées par les violences qui ont redoublé d'intensité mardi. Dans la nuit de lundi à mardi, 18 personnes avaient été tuées à Eldoret, selon la police qui y a reçu l'ordre de tirer à vue. Et mardi matin, 55 nouveaux cadavres étaient rassemblés à la morgue à Kisumu, fief de l'opposant Raila Odinga qui conteste l'élection de M. Kibaki. Par ailleurs, à Monbasa (ouest), 10 personnes ont péri dans l'incendie criminel de leur maison. Dénonçant "une tuerie insensée", la Croix-Rouge kényane a estimé qu'au moins 70.000 personnes avaient été déplacées dans l'ouest du pays par les violences. Des images aériennes montrent des centaines de maisons et huttes incendiées et des barrages routiers installés tous les dix kilomètres sur les routes. Des centaines de Kényans de la tribu Kikuyu dont est issu le président Kibaki se sont réfugiés en Ouganda, selon des responsables ougandais, pour fuir des opérations de police et des actes de vengeance d'autres tribus, loyales à l'opposant Odinga. L'Union africaine et l'Union européenne ont appelé mardi à "la retenue" et au "dialogue" les représentants des deux camps, l'UE souhaitant qu'une "solution crédible et transparente" soit trouvée aux aux problèmes suscités par l'élection présidentielle. Gordon Brown Ayant téléphoné à MM. Kibaki et Odinga, le Premier ministre britannique Gordon Brown les a appelés à "se parler" et à "explorer la possibilité qu'ils puissent se rassembler dans un gouvernement". Comme en réponse, le président Kibaki a convenu "que les dirigeants des partis politiques devraient se rencontrer immédiatement et appeler publiquement au calme". La secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, et le ministre britannique des affaires étrangères, David Miliband, ont lancé de leur côté mercredi dans un communiqué commun un appel aux dirigeants kényans pour qu'ils "fassent preuve d'esprit de compromis". "Nous nous félicitons de l'appel lancé par l'Union africaine (UA) à mettre fin aux violences et appelons tous les leaders politiques à s'engager dans un esprit de compromis qui puisse placer les intérêts démocratiques du Kenya en première ligne", ont ajouté les auteurs du communiqué. Raila Odinga avait auparavant averti dans un entretien à la BBC qu'il n'accepterait de "négocier" avec le président sortant que si M. Kibaki reconnaissait avoir perdu les élections. "Les voix peuvent être recomptées (...), avait-il dit. Nous sommes disposés à faire venir une équipe internationale de juges". Une "marche pacifique" que l'opposition voulait organiser jeudi à Nairobi a été interdite par la police. M. Odinga avait accusé dimanche M. Kibaki de fraude sur au moins 300.000 voix. L'écart officiel entre les deux candidats est de 231.728 voix. Le président est issu de l'ethnie kikuyu, la plus nombreuse du Kenya, implantée autour du Mont Kenya, dans la province centrale. Dans cette province, il a recueilli plus de 90% de suffrages. Le chef de l'opposition est issu de l'ethnie Luo, implantée sur les rives du lac Victoria. Dans cette province, il a lui aussi raflé 90% des voix. La mission d'observation de l'UE des élections générales kényanes a demandé mardi une enquête indépendante sur les résultats de la présidentielle, estimant qu'elle n'avait "pas respecté les critères internationaux et régionaux d'élections démocratiques". | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Sam 9 Fév - 14:42 | |
| En Equateur, le volcan Tungurahua est à nouveau entré en eruption le 7 février 2008, forçant des centaines de paysan à fuir les villages qu'ils venaient tout juste de réintégrer. | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Sam 9 Fév - 14:53 | |
| Brent Stirton, Afrique du sud Evacuation de cadavres de gorilles des montagnes dans le parc national de Virunga au Congo. | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Sam 9 Fév - 15:10 | |
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| | | JOKER Niveau 6
Nombre de messages : 632 Age : 31 Date d'inscription : 02/02/2007
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Dim 10 Fév - 14:11 | |
| sobhana ALLAH un volcan en Equateur et la neige en chine
Dernière édition par Admin le Mar 19 Fév - 20:53, édité 1 fois | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| | | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: L'armée bonus Mar 26 Fév - 14:51 | |
| L’armée américaine a tant de mal à recruter de nouveaux soldats qu’elle s’apprête à proposer une incitation à couper le souffle aux bacheliers qui s’engagent: une prime de 40.000 dollars, à utiliser pour s’acheter une maison ou monter sa boîte une fois le service militaire terminé.
Une mesure qui fait suite à une série de baisses des critères récemment décidée par l’armée pour réussir à remplir ses objectifs d’enrôlement: elle accepte désormais plus d’étudiants qui ont arrêté leurs études, plus de repris de justice et plus de candidats qui ont loupé les tests d’aptitude.
Cette dernière incitation est particulièrement dérangeante, pour au moins trois raisons. | |
| | | Admin °
Nombre de messages : 2676 Age : 43 Date d'inscription : 08/11/2006
| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES Mer 5 Mar - 0:07 | |
| Un Palestinien pro-Hezbollah manifeste devant le quartier général des Nations Unies à Beyrouth pour protester contre les violences à Gaza, Liban, le 3 mars 2008. | |
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| Sujet: Re: ACTUALITES INTERNATIONALES | |
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| | | | ACTUALITES INTERNATIONALES | |
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